J’aime imaginer les nuits du musée remplies de chuchotements. De murmures intimes. J’entends les débats païens ou religieux. Échanges passionnés, sans tabou. Discussions enflammées. Conversations rêvées, colorées. De quel mystère s’agit-il ?
Quel est ce mystère qui pousse un être humain au soir de sa vie à prendre le crayon, la peinture pour laisser sa trace. Quel mystère pousse cette femme à tout quitter pour dessiner inlassablement sans avoir le besoin de montrer, de vendre son travail.
Faut-il avoir une éducation artistique pour créer ? Faut-il connaître la théorie des couleurs pour être un merveilleux coloriste ?
Qu’est-ce qu’une œuvre ? A qui donne-t-on le pouvoir de répondre à cette question ?
Créée en 2016, la Fondation Paul Duhem n’a pas pour objet de répondre à ces questions. Elle propose de protéger, étudier, diffuser des œuvres qui, sans son apport, seraient probablement détruites ou oubliées dans un coin du grenier.
Œuvres « indigentes », qui retrouvent une nouvelle vie dans cet écrin exceptionnel qui avait pour fonction d’accueillir et de soigner les plus pauvres d’entre nous.
Hôpital Notre-Dame à la Rose, Place Alix de Rosoit 1 7860 Lessines Hôpital Notre-Dame à la RoseJ’aime imaginer les nuits du musée remplies de chuchotements. De murmures intimes. J’entends les débats païens ou religieux. Échanges passionnés, sans tabou. Discussions enflammées. Conversations rêvées, colorées. De quel mystère s’agit-il ?
Quel est ce mystère qui pousse un être humain au soir de sa vie à prendre le crayon, la peinture pour laisser sa trace. Quel mystère pousse cette femme à tout quitter pour dessiner inlassablement sans avoir le besoin de montrer, de vendre son travail.
Faut-il avoir une éducation artistique pour créer ? Faut-il connaître la théorie des couleurs pour être un merveilleux coloriste ?
Qu’est-ce qu’une œuvre ? A qui donne-t-on le pouvoir de répondre à cette question ?
Créée en 2016, la Fondation Paul Duhem n’a pas pour objet de répondre à ces questions. Elle propose de protéger, étudier, diffuser des œuvres qui, sans son apport, seraient probablement détruites ou oubliées dans un coin du grenier.
Œuvres « indigentes », qui retrouvent une nouvelle vie dans cet écrin exceptionnel qui avait pour fonction d’accueillir et de soigner les plus pauvres d’entre nous.