Organisée dans le cadre du projet The circus we are, l’exposition Diableries propose une immersion dans l’univers captivant du Diable, figure emblématique de notre imaginaire collectif. Tantôt créature hideuse et terrifiante, tantôt tentateur séduisant et envoûtant, ce dernier effraie autant qu’il fascine depuis des siècles. Usant de ruses et finesses dans le but de corrompre les esprits et de les soumettre à la tentation, cet être énigmatique, représente une menace permanente pour le Salut des âmes. Diableries interroge l’Homme sur ses rapports au Malin, au Moyen Âge et à l’Époque moderne et questionne, plus largement, notre propre relation au Diable, au travers de thématiques variées, du théâtre à la musique, en passant par le jeu et la danse, autant d’activités et de pratiques au parfum diabolique parfois insoupçonné. L’exposition dresse aussi le portrait de ceux que l’on considérait autrefois comme des disciples du Diable : les démons et les sorcières, mais aussi les saltimbanques, les escamoteurs et autres jongleurs. Ainsi, à travers une sélection d’œuvres prestigieuses provenant de collections privées et de grands musées, Diableries met en lumière la place jadis accordée au Diable dans les arts plastiques, à travers une sélection de peintures, sculptures, gravures et autre objets plus insolites. À la célèbre Danse de Noces de Pieter II Bruegel est associé un ensemble d’œuvres, signées par quelques-uns des plus grands noms de la Renaissance septentrionale, parmi lesquels Albrecht Dürer, Hans Baldung Grien et Lucas Cranach. La part belle est également faite aux œuvres de Jérôme Bosch, de Pieter Bruegel l’Ancien et de leurs épigones, qui ouvrent les portes de mondes renversants, peuplés d’une myriade de créatures démoniaques hybrides, somme toute plus drolatiques que réellement effrayantes. Des créations musicales inédites, combinées à des dispositifs numériques originaux viennent agrémenter la visite pour une expérience unique.
Commissariat scientifique : Gaylen VANKAN, aspirant F.R.S.-FNRS (ULiège - Unité de recherchessur le Moyen Âge et la première modernité) - Dr. Julien DE VOS, conservateur-coordinateur du TreM.a-Musée des Arts anciens duNamurois
TreM.a – Musée des Arts anciens, Rue de Fer 24 5000 Namur TreM.a – Musée des Arts anciensOrganisée dans le cadre du projet The circus we are, l’exposition Diableries propose une immersion dans l’univers captivant du Diable, figure emblématique de notre imaginaire collectif. Tantôt créature hideuse et terrifiante, tantôt tentateur séduisant et envoûtant, ce dernier effraie autant qu’il fascine depuis des siècles. Usant de ruses et finesses dans le but de corrompre les esprits et de les soumettre à la tentation, cet être énigmatique, représente une menace permanente pour le Salut des âmes.
Diableries interroge l’Homme sur ses rapports au Malin, au Moyen Âge et à l’Époque moderne et questionne, plus largement, notre propre relation au Diable, au travers de thématiques variées, du théâtre à la musique, en passant par le jeu et la danse, autant
d’activités et de pratiques au parfum diabolique parfois insoupçonné.
L’exposition dresse aussi le portrait de ceux que l’on considérait autrefois comme des disciples du Diable : les démons et les sorcières, mais aussi les saltimbanques, les escamoteurs et autres jongleurs.
Ainsi, à travers une sélection d’œuvres prestigieuses provenant de collections privées et de grands musées, Diableries met en lumière la place jadis accordée au Diable dans les arts plastiques, à travers une sélection de peintures, sculptures, gravures et autre objets plus
insolites.
À la célèbre Danse de Noces de Pieter II Bruegel est associé un ensemble d’œuvres, signées par quelques-uns des plus grands noms de la Renaissance septentrionale, parmi lesquels Albrecht Dürer, Hans Baldung Grien et Lucas Cranach. La part belle est également faite aux œuvres de Jérôme Bosch, de Pieter Bruegel l’Ancien et de leurs épigones, qui ouvrent les portes de mondes renversants, peuplés d’une myriade de créatures démoniaques hybrides, somme toute plus drolatiques que réellement effrayantes.
Des créations musicales inédites, combinées à des dispositifs numériques originaux viennent agrémenter la visite pour une expérience unique.
Commissariat scientifique : Gaylen VANKAN, aspirant F.R.S.-FNRS (ULiège – Unité de recherchessur le Moyen Âge et la première modernité) – Dr. Julien DE VOS, conservateur-coordinateur du TreM.a-Musée des Arts anciens duNamurois