Dans le cadre des commémorations des 110 ans de la bataille de Mons de 1914, le Mons Memorial Museum revient sur l’un des événements surnaturels les plus spectaculaires de la Première Guerre mondiale : l’apparition des Anges de Mons.
La légende des Anges de Mons, inspirée d’un récit de l’écrivain Arthur Machen, est adoptée par une société britannique qui a cruellement besoin de sens et d’espoir en ces premiers mois du conflit de la Grande guerre. Selon les versions, la figure de Saint-Georges serait apparue accompagnée d’archers célestes ou d’anges vêtus de blanc. 110 ans après la bataille du 23 août 1914, cette exposition essaie de comprendre la popularité de cette histoire en interrogeant le phénomène des miracles et apparitions survenus durant la guerre. Elle aborde la thématique de la religiosité et du besoin de croire en période de guerre et décode les liens entre culture et propagande. Pourquoi les anges ? Pourquoi, dans le contexte exceptionnel de la guerre, a-t-on eu besoin de croire ? Et aujourd’hui, à quoi voulons-nous croire ?
Mons Memorial Museum, Boulevard Dolez, 51 7000 Mons Mons Memorial MuseumDans le cadre des commémorations des 110 ans de la bataille de Mons de 1914, le Mons Memorial Museum revient sur l’un des événements surnaturels les plus spectaculaires de la Première Guerre mondiale : l’apparition des Anges de Mons.
La légende des Anges de Mons, inspirée d’un récit de l’écrivain Arthur Machen, est adoptée par une société britannique qui a cruellement besoin de sens et d’espoir en ces premiers mois du conflit de la Grande guerre. Selon les versions, la figure de Saint-Georges serait apparue accompagnée d’archers célestes ou d’anges vêtus de blanc. 110 ans après la bataille du 23 août 1914, cette exposition essaie de comprendre la popularité de cette histoire en interrogeant le phénomène des miracles et apparitions survenus durant la guerre. Elle aborde la thématique de la religiosité et du besoin de croire en période de guerre et décode les liens entre culture et propagande. Pourquoi les anges ? Pourquoi, dans le contexte exceptionnel de la guerre, a-t-on eu besoin de croire ? Et aujourd’hui, à quoi voulons-nous croire ?